Dans la rubrique Les Héros du Retail, nous mettons en avant les clients Lightspeed qui ont réussi à se faire un nom dans le monde du commerce de détail et qui souhaitent partager leur histoire, les clés de leur succès avec d’autres entrepreneurs. Comment ont-ils commencé et quel a été le chemin parcouru par ces entrepreneurs ? Comment gèrent-ils leurs affaires ? Et comment Lightspeed les aide-t-il à gérer leur entreprise avec succès ?
Daniël Ost est la société fondée par Daniel et Marie-Anne Ost, d’abord comme fleuriste local en 1978 et aujourd’hui comme entreprise familiale de deuxième génération avec 3 magasins en Belgique (Saint-Nicolas, Bruxelles et Knokke). Et bientôt le premier à l’étranger, en Jordanie. Daniël Ost est connu dans le monde entier et surtout en Belgique où ils sont fournisseurs officiels de la Cour et des festivals de musique comme Tomorrowland. Ils conçoivent également des jardins et des aménagements paysagers.
Qu’est-ce qui rend Daniël Ost si unique ?
Notre plus grand atout est sûrement notre créativité et notre qualité. Nous nous approvisionnons nous-mêmes en fleurs auprès de nos fournisseurs de confiance et nous nous assurons qu’elles arrivent aussi vite et fraîches que possible. Nous faisons toujours tout le nettoyage et l’entretien à la main et nous pouvons vous assurer que nos fleurs durent au moins 3 fois plus longtemps que celles que vous trouverez dans les supermarchés, par exemple. Nous essayons d’offrir une variété et une sélection spéciales que vous ne trouverez nulle part ailleurs, et lorsque nous faisons nos bouquets, arrangements ou designs, nous essayons d’être très créatifs. Récemment, nous avons ajouté de nouveaux produits dans nos magasins, comme des vases spéciaux, de beaux livres ou des bougies parfumées. Si vous voulez attirer les gens dans votre magasin, vous devez offrir une expérience unique et nous essayons de le faire à chaque fois !
Avez-vous plusieurs établissements et comment gérez-vous la multi-location ?
Nous avons 3 boutiques en Belgique (Saint-Nicolas, Bruxelles et Knokke) et nous ouvrirons bientôt le prochain en Jordanie. C’est un équilibre difficile entre l’expansion et la croissance du commerce de détail, la préservation de la créativité et de la qualité. Nous possédons tous nos magasins à 100%, nous sommes donc toujours sûrs du service et de la qualité. Mais bien sûr, nous sommes ambitieux et l’objectif final est d’avoir un réseau mondial de boutiques Daniël Ost pour que les gens puissent profiter de la beauté des fleurs fraîches partout !
Quels sont les challenges en tant qu’entrepreneur ?
Lorsque vous travaillez dans une entreprise créative, l’argent ne peut pas être votre force motrice. Il faut de la passion et de l’amour pour les matériaux. C’est comme un chocolatier ou un boulanger. Cela ne les dérange pas de travailler de longues heures ou le dimanche, parce que c’est votre passion. Cependant, lorsque vous atteignez une certaine taille, il y a beaucoup de problèmes commerciaux supplémentaires qui se présentent, en termes de trésorerie, de ressources humaines, etc. Notre plus grand défi est d’aligner à la fois nos intérêts commerciaux et notre esprit créatif. Pour ce faire, vous avez besoin d’une équipe fantastique qui partage une vision similaire.
Avez-vous choisi votre (vos) emplacement(s) stratégiquement ?
Bien sûr, nous desservons les échelons supérieurs du marché, donc logiquement, nous essayons de nous situer là où cette clientèle se rend. Cela dit, lorsque vous offrez quelque chose que personne d’autre n’offre, n’ayez pas peur de sortir des sentiers battus. Lorsque nous avons commencé notre magasin à Bruxelles, ce quartier spécifique était encore très sous-développé avec peu de magasins, d’entreprises et de projets autour de nous. Aujourd’hui, nous sommes en plein milieu de l’action ! De plus, nos magasins sont tous très caractéristiques. À Saint-Nicolas, c’est une maison de ville vieille de 200 ans, à Bruxelles, c’est un morceau de beauté architecturale de l’architecte renommé Paul Hankar. Et notre magasin à Knokke se trouve dans un ancien bâtiment bancaire où notre atelier se trouve entre des voûtes massives.
Avez-vous une stratégie marketing ?
Pour être honnête, nous suivons le courant… Nous avons un programme de fidélité (j’espère l’intégrer dans notre système Lightspeed). Évidemment, nous travaillons avec une grande société de relations publiques (Wavemakers PR) qui s’occupe de notre communication générale et de nos projets on-off. À part cela, je pense que le meilleur marketing reste le bouche-à-oreille. Faites plaisir à vos clients, faites un effort supplémentaire et ils feront votre marketing… Mais de nos jours, vous ratez quelque chose si vous n’utilisez pas les réseaux sociaux qui sont disponibles. Je ne suis pas un grand fan des influenceurs mais je me rends compte qu’ils deviennent aussi indispensables.
De quelle façon Lightspeed vous aide au quotidien ?
Nous avions besoin d’un système de caisse facile à utiliser, rapide à mettre en œuvre et bien pensé pour nos magasins. Nous travaillions encore très old school avec la gestion manuelle des stocks par exemple. Lightspeed nous aide à rester au courant de ce qui se passe et a considérablement réduit le temps et l’énergie que nous consacrons à la tenue de livres, à la gestion des stocks et aux analyses en magasin.
Avez-vous de futurs projets ?
Oui, bien sûr ! Chaque jour naît une nouvelle idée, une opportunité que vous pouvez trouver. Mais vous ne pouvez pas aller trop vite. En 2019, nous voulons finaliser l’ensemble de notre système technique/numérique/opérationnel pour être prêts à conquérir le monde !
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